Elle court, elle court, la rumeur du retour du Mammouth à l"ouverture" au sein d'un 15 du coq remanié par le président Sarkozy, au nez et à la barbe du sélectionneur Fillon. Si nous pensons (et espèrons) que cette information ne restera que rumeur, et que le négationiste retournera à ses lectures (il s'est endormi à la 1ère page du rapport du GIEC) , c'est une occasion rêvé de revenir sur le thème de "la voiture et l'environnement".
La rubrique La Chaine Energie du site l'expension.com dont nous avon déjà relaté la pertinence des exposés, publie un article intéressant et synthétique sur la question.
Au sein de La Voiture Autrement, nous pensons que l'actualité, les médias et les politiques focalisent beaucoup trop sur le seul pilier "environnement" du développement durable qui en comporte pourtant deux autres : "économique" et "social". Si la thèse d'Allègre se révelait vraie, et si une nouvelle énergie, totalement verte, tombait du ciel par miracle, nous n'en aurions pas pour autant terminé avec la voiture consommatrice d'espace (au détriment d'espaces verts ou de pistes cyclables), bruyante, insécure et coûteuse (possession, usage, temps perdu dans les embouteillages) !
Bref, la voiture électrique ne nous sauvera pas, hélas. Les chercheurs européens sont unanimes (à un Mammouth près) : les seuls avancées technologiques ne permettront de répondre, dans le meilleur des cas, qu'à 50% des objectifs de réduction des gaz à effet de serre sur le continent (- 20 % en 2020). Il faut donc inciter, sensibiliser, offrir des alternatives, investir. Dommage, le plan de relance français met en avant la voiture et la route... Quel anachronisme !
La rubrique La Chaine Energie du site l'expension.com dont nous avon déjà relaté la pertinence des exposés, publie un article intéressant et synthétique sur la question.
Au sein de La Voiture Autrement, nous pensons que l'actualité, les médias et les politiques focalisent beaucoup trop sur le seul pilier "environnement" du développement durable qui en comporte pourtant deux autres : "économique" et "social". Si la thèse d'Allègre se révelait vraie, et si une nouvelle énergie, totalement verte, tombait du ciel par miracle, nous n'en aurions pas pour autant terminé avec la voiture consommatrice d'espace (au détriment d'espaces verts ou de pistes cyclables), bruyante, insécure et coûteuse (possession, usage, temps perdu dans les embouteillages) !
Bref, la voiture électrique ne nous sauvera pas, hélas. Les chercheurs européens sont unanimes (à un Mammouth près) : les seuls avancées technologiques ne permettront de répondre, dans le meilleur des cas, qu'à 50% des objectifs de réduction des gaz à effet de serre sur le continent (- 20 % en 2020). Il faut donc inciter, sensibiliser, offrir des alternatives, investir. Dommage, le plan de relance français met en avant la voiture et la route... Quel anachronisme !